Poids et maux des poèmes, récoltant ce qu’il sème,
Son fardeau est trop lourd, il préfère couper court.
D’avoir trop à conter, Onîm veut arrêter.
Havre trop littéraire, pour aller prendre l’air,
Il ne reviendra plus, merci de l’avoir lu.
Poids et maux des poèmes, récoltant ce qu’il sème,
Son fardeau est trop lourd, il préfère couper court.
D’avoir trop à conter, Onîm veut arrêter.
Havre trop littéraire, pour aller prendre l’air,
Il ne reviendra plus, merci de l’avoir lu.
Que fait-on face à cet âne : rit ?
Faut-il rire ou pleurer sans larme
Se dire que ça y est c’est fini
Note âne aimé rend les armes
Meuh nan comprit soudain la vache
N’on se trouve au bord d’une mare !
Allez, je vais prendre un canard
Merci d’m’avoir fait rire pauv’tache !