Que de n’pas partager, je préfère m’abstenir,
Deviens-je trop enragé, pour parfaire mes plaisirs?
Tu es devant moi mais j’utiliserais « elle »,
Aima-t-elle en soi mes rêves quasi réels.
Nu tel un ver, je dévoile mon inquiétude,
Elle lira ces vers… J’espère sa mansuétude.
Il me plait à penser qu’à moi ces vers sont adressés
Peut-être n’est-ce qu’un rêve… tanpis je l’prend sinon je crève!
Je crois que l’anonyme, ne peut être sans plomb.
Ne doutant pas d’sa rime, qui ne manque d’aplomb.
Crois-en cet état d’âme, je ne veux m’obstiner,
Pas le « elle » d’une femme, mais de ma destiné.
J’utilise perso « elle », en un but exigu.
En des vers personnels, pour le moins ambigus.
Suis-je ainsi condamné à ne comprendre rien ?
Désolé pour l’énigme mais tu me le rends bien.
Jamais ne m’est venu à l’esprit
D’y voir de l’ambigu
Dans ces rimes si joliment écrites
Qui m’ont semblées si crues
J’ai voulu m’amuser un instant
A me croire l’élue
Mais je sais très bien qu’a vous je mens
Vous tous qui m’avez lue.