Je reviens d’un week-end des plus ensoleillés,
Où sourires et fous-rires se seront relayés.
Le vent pousse le froid sur la plage d’Houlgate,
Les douces trajectoires du cerf-volant nous gâtent.
Le barbecue semblait vouloir rivaliser,
Avec le soleil, leurs deux feus attisés.
Quat’lapins sont passés déposer leurs p’tits oeufs,
J’ai cueilli sans casser ces plaisirs bien à eux.
La campagne alentour nous a surpris sans trêve,
Ses paysages entourent la maison de nos rêves.
J’y ai croisé des ânes pour le moins anonymes,
Feignant de reconnaître leur ami l’âne Onîm.
J’aime les sillages des ruelles d’Honfleur,
Ville d’un mariage, de bonheurs et de fleurs.
J’ai fait une connaissance, voici l’âne Ormandy,
Je repasserai le voir, parce que le coeur m’en dit.