Poids et maux des poèmes, récoltant ce qu’il sème,
Son fardeau est trop lourd, il préfère couper court.
D’avoir trop à conter, Onîm veut arrêter.
Havre trop littéraire, pour aller prendre l’air,
Il ne reviendra plus, merci de l’avoir lu.
Catégorie : Acrostiche
Il me plaies à panser
Que de n’pas partager, je préfère m’abstenir,
Deviens-je trop enragé, pour parfaire mes plaisirs?
Tu es devant moi mais j’utiliserais « elle »,
Aima-t-elle en soi mes rêves quasi réels.
Nu tel un ver, je dévoile mon inquiétude,
Elle lira ces vers… J’espère sa mansuétude.