Vous y crois’rez la lune, entendrez des « hi han ! »,
L’inconnu et sa plume, pianoter, bien vivants.
Du fond de son étable, le ruminant mâchouille,
Des mots identifiables, nonchalamment, se brouillent.
Où l’âne y braira le meilleur de lui-même,
Le libraire y trouvera, amateur, ce qu’il aime.
C’est de la poésie, de la récréation,
It won’t be so easy! Mais va y’avoir d’l’action.
Si l’animal s’endort, par trop plein de paresse,
L’âne se portera bien, évitez les caresses.
Il vous attend curieux, impatient de les lire,
Vos remarques de furieux, la bête se f’ra plaisir.
Pour des récits de vers, le bonheur de la rime,
Le voici donc ouvert, le blog de l’âne Onîm.
Et voila !
Te voila blogueur !
Blagueur et blogueur.
Cela paraissait tellement évident, et pourtant tu n’ouvres ce blog que maintenant !
Et je reconnais bien là la patte de l’âne, jolie écriture.
Heureux visiteur que je suis de signer le second message de ces pages. C’est vrai, après tout j’aurai pu être troisième…
Bien sûr un style reconnaissable entre mille
Rien qu’en le lisant, on jubile !
J’arrête ici la prose,
car c’est toi qui l’imposes 🙂
Bravo,
et à bientôt.
Enfin un paradis, de rêveurs, de poêtes,
Et de rimes. Qu’ici les mots se lient pour créer
Le bonheur certain de tout âge, de toute bête.
L’âne Onîm jamais ne devra oser fermer
La porte de cet ouvrage pendant longtemps
Désiré. Si un homme Onîm en ce moment
Naît, il ne sonnera ni ne ressemblera
En rien à ces vers que, toujours on aimera.
Sache que si parfois pour toi l’anonymat pèse…
Sache que très souvent pour moi l’âne Onîm m’apaise.
L’anonymat pèse parfois mais devient un jeu,
Et tes rimes balaises ma foi en font tout l’enjeu !