On rencontre du monde en sortant de l’étable,
Des équidés abondent, des plus aux moins aimables.
Sans tous vous les citer, j’en retiendrai certains,
L’âne voudrait en parler, sans en avoir l’air d’un.
Derrière une fumée rance, on peut apercevoir,
Beaucoup de contenance pour plaire à l’auditoire.
Les dépendants s’arrêtent devant l’âne Ikotine,
Promis demain j’arrête, je l’évite en routine.
Nous écoutons la vie, de monsieur l’âne Oblaisse,
Contestons ses avis, car des propos nous blessent.
C’est pire que d’endurer, bouriquette Dugralle.
Le dernier est moins bête, mais il ne sait pas lire,
Car pour l’âne Alfabète, y’a pas de quoi en rire.
Soyez-en assurés, son défaut m’est égal.
j’aime ce sonnet mon grand pote il est remarquablement exécuté et tellement vrai…
Tout les poèmes de ce site sont géniaux bonne chance pour de nouvellees inspirations !!!
Tout les poemes de ce site sont geniaux bonne chance pour de nouvelles inspirations je les aimes vos poemes incroyables